Comme promis, voici d'autres articles qui paraîtront fin octobre, dans FMR, le journal "people" des Stars !
Il a présenté Noémie à sa mère !
Le Prince Norman, héritier de la couronne, aurait présenté hier à la Reine-mère, le top model toujours au High top de la first list, la blonde Kenny Brunner ! La nouvelle a vite fait le tour du royaume et de la presse internationale, avant d’arriver à la rédaction de votre journal préféré, FMR ! Après vérification et croisement des informations, nous sommes en mesure de le confirmer ; le prince Norman aurait bien présenté Kenny Brunner à sa maman ! Nulle autre information n’a filtré de cet événement de portée mondiale. Notre code déontologique nous amène cependant à traiter cette affirmation au conditionnel, en professionnels de l’info que nous sommes. En tout cas, cette affaire va faire couler beaucoup d’encre sous les ponts.
L’attentat du vol Paris Marseille
Un vent de terreur s’est abattu sur le vol UB14 Paris / Marseille ! Lundi 12 juillet 2011, 12h48. Aéroport de Roissy-Charles de Gaulle. La météo est favorable. Vent Nord-Nord Est, force 0,3, Blériot, Papa Tango Charly. En bout de piste, le A320 d’Air France du vol UB14, attend le feu vert de la tour de contrôle pour décoller. Il doit atterrir dans 64 minutes à l’aéroport de de la cité phocéenne.. Le ciel est bleu, le soleil à son zénith. Rien, absolument rien ne laisse augurer du drame qui est en train de se tisser à bord. Pas moins de 458 passagers - dont une vingtaine d’enfants en bas-âge, sont alors présents dans l’avion maudit, un biréacteur turbo-diésel à 4 pistons inversés. Seule Germaine Montolo, brave grand-mère qui fêtera ses 89 ans le 12 octobre prochain , au restaurant « le scaphandrier » 14 rue de la mouette rieuse à Belfort, spécialités de poissons frais, réservations conseillées, seule Germaine Montolo, demeurant rue des Templiers à Belfort, ancienne préparatrice en pharmacie à Perpignan, diplômée de la célèbre EPP (école de préparateurs en pharmacie) de Belfort, cette superbe ville au lourd passé et à l’histoire unique, territoire aux statuts qui ont fait l’objet de tant de polémiques plus ou moins justifiées, ville où s’est d’ailleurs mariée Germaine Monotolo en juillet 1942, alors que la France subissait le joug terrible d’une Allemagne partie à la dérive, seule notre brave grand-mère peut aujourd’hui témoigner de ce qui s’est réellement passé dans ce que l‘on a appelé « l‘avion de la mort ». Ce lundi 12 juillet, il est toujours 12h48 quand Ernest Dujeux, le commandant de l’A320, pousse avec une incroyable dextérité, la manette des deux puissants réacteurs Citröen, tout en écrasant du pied gauche, la pédale de frein - pratique que nous déconseillons vivement aux débutants - qui bloque entre ses puissantes mâchoires d’acier, les roues de l’aéroplane. Malgré l’impressionnant nuage de fumée qui enveloppe maintenant la carlingue, le commandant de bord Ernest Dujeux - qui nous a gentiment autorisé à l’appeler « Nénesse », plaisante avec son copilote, le fourbe Harry Flyman. Soudain, au niveau de l’allée B, siège n° 41, jouxtant le n°43 occupé par Germaine Montolo qui commence à trouver l’attente en bout de piste un peu longue, un jeune homme à l’allure insignifiante, tête baissée, retire précipitamment sa ceinture de sécurité et se lève en brandissant nerveusement l’index droit en l’air, comme si il désignait dans le ciel, un pigeon parisien passant à tire-d’aile au-dessus de sa tête. Germaine Montolo se souvient parfaitement : « Bien sûr, je m’en souviens parfaitement J‘ai immédiatement remarqué le comportement singulier de mon voisin. Avant même de se lever, il trépignait sur son siège, se rongeait les ongles et jetait les morceaux par terre. Il suait abondamment et dégageait une forte odeur qui m‘incommodait. Quand il s’est libéré de sa ceinture de sécurité pour se lever et brandir bien haut son index droit, comme si il désignait dans le ciel, un pigeon parisien passant à tire-d’aile au-dessus de sa tête, j’ai alors réalisé que nous vivions le début d’un cauchemar… » ! A la vue de l‘homme debout et menaçant, la panique s’empare des passagers ! Alerté par une hôtesse, Nénesse coupe courageusement les moteurs. En cabine, chacun s’interroge. Quelles sont les exigences du jeune terroriste ? Que cherche-t-il ? Qui est donc ce paltoquet qui veut se faire remarquer ? Est-il au moins français ? A-t-il fait des études de préparateur en pharmacie ? Habite-t-il Belfort ? Et où se trouve la bombe qui va déchiqueter l’avion et priver notamment les 8 enfants, 47 petits-enfants et 158 arrières petits-enfants, des bons gâteaux au fromage de Normandie que préparent régulièrement notre brave grand-mère, Germaine Montolo, avec un savoir-faire sans égal, propre au Territoire de Belfort qui a produit tant de si nombreuses savoureuses spécialités gastronomiques ? Personne ne le sait ! Malgré l’horreur qui se dessine à bord du vol A714 pour Marseille Marignane, malgré l’ambiance devenue inintéressante pour qui ne s‘intéresse pas à l‘histoire de l‘aviation française, personne n’ose bouger. Cependant, dans les derniers rangs, certains réussissent à sortir discrètement leur portable pour téléphoner à leurs proches et les prévenir du drame, sans que l’homme brandissant toujours silencieusement son index en l’air, tête baissée, ne puisse se douter un seul instant du subterfuge. Cinq allées derrière Germaine Montolo, notre Belfortaise qui cherche, nous a-t-elle confié, un F2 à Lourdes, situé si possible entre la gare et la grotte de Bernadette Scoubidou, pour maxi 250 euros de loyer, charges comprises, derrière elle donc, un jeune garçon âgé de 9 ans prénommé Lucien, cinéphile averti, a commencé par gratter discrètement avec ses ongles, le tour du hublot dans l’espoir de le faire tomber et s’échapper de l’enfer où il se trouve. Sa maman réalisant subitement la nature de l’activité de son fils, le tire violemment par l’oreille et lui assène une grande paire de claques - bien méritée au demeurant - en hurlant « c’est qui qui va payer ? ». Dans les derniers rangs, 4 hommes se regardent discrètement, en sifflotant « la Marseillaise« , l’air de rien. L’un deux montrent ses lacets à ses compères… veut-il les utiliser comme un piège redoutable pour faire un croche-patte au terroriste ? Compte-t-il s’en servir pour le pendre haut et court ? Compte-t-il s’en servir comme d’un lasso pour capturer l’auteur du forfait ? Personne ne le saura jamais ! Soudain, alors que l’angoisse est à son comble, la chef-hôtesse de l’air, mademoiselle Olivia del Sierra, jolie fleur exotique originaire du Sud de Melun, n’écoutant que son courage et son devoir, s’approche dans un troublant déhanchement du terroriste demeuré debout et lui lance avec sa grosse voix à la Marlène Dietrich; « Monsieur, puis-je vous demander de vous rassoir, nous allons bientôt décoller ! ». Sont-ce les effets anticipés du miraculeux voyage à Lourdes que compte entreprendre bientôt madame Germaine Montolo ? Est-ce ce décolleté sensuel, largement ouvert sur la superbe poitrine de Olivia ? En tout cas, comme le décrit si bien Germaine Montolo « à ce moment précis, personne n’avait encore compris ce qui se passait ! ». Force est de constater que le jeune homme qui brandissait nerveusement son index en l’air, a immédiatement obtempéré aux injonctions, polies mais fermes, d‘Olivia del Sierra, la Chef-hôtesse de l‘air. Il s’est assis sur le champs (enfin, sur son siège, pas dans le champs ! Un peu d’humour ne fait pas de mal ! De plus, il facilite les rapports humains et le transit, mais nous n‘avons pas vérifié). Le terroriste en puissance a rapidement recliqué sa ceinture de sécurité, tête toujours baissée. Avant de tourner les talons, Olivia del Sierra tend le pousse à l’adresse des passagers et leur jette un coup d’œil provocateur. Averti de l’heureuse issue, notre Nénesse relance rapidement les moteurs en klaxonnant à tue-tête, histoire de mettre un peu d’ambiance. Puis, avec la légèreté d’un pélican mâle de l’Afrique saharienne, l’avion A320 du vol Air France UB14 prend enfin son envol et atterrit à l’heure prévue, à Marseille Marignane. Une enquête administrative a été immédiatement diligentée. Comme le dit sans détour la brave Germaine Montolo, passagère involontaire de ce vol maudit :« N’empêche, si au lieu d’avoir simplement envie de faire pipi, le jeune homme avait été un terroriste surentrainé détestant Belfort, habitué à se faire exploser et si il avait porté sur lui, une ceinture garnie de 50 bombes dont une atomique, croyez-moi, ça aurait pu faire de sacrés dégâts ! ».
Horny Black blanchi !
Le rappeur de Sarcelles Horny Black, a été blanchi dans l'affaire dite des « suppositoires bleus ». En effet, de nombreux témoins comptabilisés par la Police au nombre de deux, affirment que Horny était en concert à Sarcelles ce fameux samedi 14 mars 2002. Angel et Burt Black, les frères de Horny, précisent : « ouais, man, pour sûr ! ». Après ces témoignages qui mettent à mal tout le système d’accusation de la partie civile, FMR a dépêché une équipe de journalistes d‘investigation pour contribuer à connaître la vérité sur cette ténébreuse affaire. Après une enquête rondement menée, nous sommes aujourd’hui en mesure de l‘affirmer : Le 14 mars 2002, Horny Black ne pouvait pas être en même temps à Sarcelles et à Los Angeles et ce, au même moment ! La rédaction de FMR est catégorique : c’est absolument im-po-ssi-ble !
La fin tragique de Germaine Montolo, grand-mère à Belfort
Rappelez-vous : en juillet dernier, peut-être grâce à son saint projet de voyage à Lourdes, Germaine Montolo, brave et courageuse grand-mère demeurant à Belfort, a miraculeusement évité l'accomplissement d’un acte criminel terroriste qui aurait pu coûter la vie à des centaines d’innocents. La semaine dernière, vendredi précisément, Germaine Montolo arrive en gare de Lourdes par l‘express 415 B 12, en provenance de Belfort, charmante ville de 48 123 habitants, et réputée pour son école de préparateurs en pharmacie. Un énorme sac à dos sur les épaules et un gros sac Tati dans chaque main, - ces fameux sacs aux couleurs vives, fabriqués en Chine mais qui sont extrêmement résistants grâce à leur poignée qui enveloppe littéralement le cabas tout en demeurant d’une légèreté surprenante, Germaine Montolo se dirige, comme à son habitude, vers l’Hôtel des conjurés. Comme elle le fait depuis maintenant 36 ans, elle a réservé la chambre numéro 15, au premier étage (normal, c‘est la seule avec des dudules ! » avait précisé la valeureuse Belfortaise. A peine une heure après son arrivée, notre brave grand-mère, catholique pratiquante qui n‘hésite pas à mettre la main au portefeuille - contrairement à certains qui, honte sur eux, se reconnaîtront - lorsque le panier de la quête dominicale lui est proposé, se présente dans l’enceinte sacrée de Lourdes. Après 30 minutes à attendre son tour, patiemment calée dans la file d’attente qui mène les fidèles à l’intérieur de la grotte de Bernadette Scoubidou, Germaine Montolo craque ! Que lui passe-t-il alors par la tête ? Quel impérieux motif peut justifier un tel acte de démence ? Toujours est-il que, arrivée à moins d’une dizaine de mètres de l’entrée de la grotte, Germaine Montolo déboîte soudainement en grognant, s’extirpe de la file d’attente et se met à doubler tout le monde, les bras en avant, les yeux exorbités, en direction du lieu saint. Gilbert Poignard, témoin du drame, a tout vu : « ben, c’est ça, quand on veut aller plus vite que la musique ! La grand-mère, elle a glissé sur une pierre mouillée et elle s’est fracassée la gueule sur le rocher avant de s‘empaler sur les grilles, v’là l’histoire ! Moi, j’dis qu’c’est pas un spectacle pour les enfants, allons ! Tout de même ! ». En courant les bras en avant vers la grotte miraculeuse, Germaine Montolo n’aurait jamais imaginé qu’elle rentrerai à Belfort… les pieds devant.